Yaoi, Cadeau pour Koyomi, POV Seifer. Seifer fait un bilan de sa relation avec son amant.
Auteuse : Babel
Titre : Serre-moi
Base : Final
Fantasy 8
Genre : Yaoi, Songfic, POV Seifer...
Couples
: SeiferXSquall
Notes : Kado pour Ko !!! Merci
d'être une aussi bonne bêta même si tes délais
sont parfois un peu longs !!! ^^;;;
Disclaimer : Pas à
moi... éè Mais ils font quand même partie du
harem
SERRE-MOI
Embrasse-moi
dessus bord Viens mon ange, retracer le ciel J'irai crucifier
ton corps, Pourrais-je dépunaiser tes ailes ? Embrasser,
te mordre en même temps Enfoncer mes ongles dans ton dos
brûlant
J'aime te faire l'amour, te voir te
tordre sous moi, voir ton corps trembler entre la douleur et le
plaisir. J'aime comme tu me serres quand je suis en toi. J'aime
la violence de nos ébats, les griffures lacérant nos
dos, l'épuisement dans lequel nous sommes à la
fin...
Te supplier de me revenir et tout faire ô
tout pour te voir partir et viens! Emmène-moi là
bas Donne-moi la main Que je ne la prenne pas Ecorche mes
ailes Envole-moi Et laisse-toi tranquille à la
fois
Nous sommes des êtres de contrastes,
totalement opposés et pourtant si complémentaires... Je
n'ai pas besoin de toi et tu n'as pas besoin de moi... Et
pourtant, nous ne pouvons vivre l'un sans l'autre. Quand tu es
loin de moi, je ne veux qu'une chose, te revoir mais quand tu es
auprès de moi, je ne peux m'empêcher de tout faire pour
t'éloigner...
Mille fois entrelaçons-nous Et
lassons-nous même en dessous serre-moi encore
serre-moi Jusqu'à étouffer de toi
Mais
je te veux près de moi, très près de moi,
jusqu'à ce que nous fusionnions presque. J'ai besoin de ton
corps autour du mien, d'avoir le mien en toi, de l'osmose totale de
nos deux corps. Que nous soyons ensembles jusqu'à atteindre
le dégoût de l'autre par abus de sa présence.
Il
y a des salauds Qui pillent le coeur des femmes Et des femmes
qui n'savent plus trop D'où l'amour tire son
charme Papillons de fleurs en fleurs D'amour en amour de
coeur Ceux qui n'ont qu'une étoile Ou ceux qui brûlent
leur voiles
Je suis aussi coureur que tu es insensible
aux charmes... Tu es tel un chien fidèle, ne s'accrochant
qu'à un amour unique alors que je m'abandonne volontiers aux
délices du corps. Tu ne peux aimer qu'un être à
la fois, je n'ai jamais aimé personne.
J'aime
tes larmes quand tu aimes Ta sueur le sang, rendons-nous
amants Qui se passionne, qui se saigne J'aime quand mon écorché
est vivant Je ne donne pas long feu A nos tragédies, à
nos adieux
J'aime te faire du mal, te voir pleurer à
cause de moi, avoir le coeur déchiré par ma
faute. J'aime te voir te rebeller contre moi quand tu trouves que
je te pousse trop, voir la haine monter dans tes yeux gris et tes
poings se serrer alors que tu essayes de contrôler tes envies
meurtrières. Nous finissons inlassablement par nous
séparer, conscients que nous ne le ferons jamais pour
toujours... Nous appartenons l'un à l'autre.
Reviens-moi,
reviens-moi Tu partira mieux comme ça A force de se
tordre, On en finirai par se mordre A quoi bon se
reconstruire, Quand on est adepte du pire
Nous nous
retrouvons obstinément, ne pouvant jamais vivre loin de
l'autre. Quand tu ne reviens pas, je vais te chercher et
inversement. Quand nous ne sommes pas ensembles, nous nous
cherchons inconsciemment, nos corps manquant de leur moitié. Et
nous nous remettons ensemble, sachant pertinemment que ce n'est que
pour mieux se séparer plus tard.
Malgré
nous, Malgré nous, A quoi bon se sentir plus grand Que
nous, deux grains de folie dans le vent Deux âmes brûlantes
deux enfants
Nous n'avons pas eu d'enfance tous les
deux, ayant été plongés dans l'horreur de la
guerre dès notre naissance. Nos âmes, mises à
vif par cette violence pendant toute leur mise en place progressive
ne peuvent pas être saines. Nous ne pouvons aimer comme les
autres. Notre amour est comme notre âme, agressif,
provocateur et offensif. Nous aimons comme nous nous battons, nous
engageant entièrement dans la bataille, quitte à nous
détruire complètement si nous la perdons.
Il
y a des salauds Qui pillent le cœur des femmes Et des
femmes qui n'savent plus trop D'où l'amour tire son
charme des Papillons de fleurs en fleurs D'amour en amour de
coeur Ceux qui n'ont qu'une étoile Ou ceux qui brûlent
leurs voiles
Nous avons tous les deux cru pouvoir
trouver l'amour et le repos auprès de Linoa. Mais le genre
d'amour qu'elle nous proposait n'est pas fait pour nous. Autant de
calme et de tendresse est contraire à notre essence même. Nous
n'aurions jamais été heureux auprès
d'elle. J'étais retourné chercher ce qu'il me
fallait auprès d'autres corps, d'autres âmes perdues
telles que moi et tu avais décidé de ne plus jamais
aimer. Jusqu'à ce que nous nous trouvions.
Embrasse-moi
dessus bord Viens mon ange, retracer le ciel J'irai crucifier
ton corps, Pourrais-je dépunaiser tes ailes ? Embrasser,
te mordre en même temps Enfoncer mes ongles dans ton dos
brûlant Te supplier de me revenir et tout faire Pour te
voir partir et viens! Emmène-moi là bas Donne-moi
la main Que je ne la prenne pas Ecorche mes ailes Envole-moi Et
laisse-toi tranquille a la fois Mille fois entrelaçons-nous Et
lassons-nous même en dessous
Je n'ai plus connu
d'autres corps depuis le tien et tu n'as plus jamais reparlé
de la promesse que tu t'étais faite. Jamais nous ne nous
dirons 'je t'aime' ou d'autres mièvreries dans ce genre. Au
contraire, les insultes et coups pleuvent entre nous. Mais rien ne
pourrait mieux nous convenir que cela. Serre-moi encore,
serre-moi Jusqu'à étouffer de toi
J'ai
envie de toi.
Serre-moi encore, serre-moi Jusqu'à
étouffer de toi
Je vais te chercher.
Serre-moi
encore, serre-moi
J'ai besoin de ton corps contre le
mien...
FIN
Babel : O.o
Squall :
o.O
Seifer : O.o
Babel : J'ai écrit ça
moi ?
Squall : Il semblerait...
Babel : C'est vraiment
moi qui ai écrit ça ?!!!
Squall : Oui...
Babel
: O.o
Seifer relit le texte : Finalement, j'aime bien moi
!!!
Squall : Facile, c'est toi qui as le beau rôle
!!!!
Babel : ^^;;; Désolé Mamour, mais je te
vois mal dire ce genre de texte toi...
Squall : Et pourquoi
pas ?!!!!
Babel : Tu as beaucoup plus le profil d'Uke que de
Seme violent...
Squall : ><
Babel : ^^;;;
Seifer
: Bah fait pas cette tête Poussin, viens, j'ai appris un
nouveau truc à essayer aujourd'hui.
Squall : Hn ? air
intéressé
Seifer : Et ben murmure dans
l'oreille
Squall : ####O.O####
Babel qui a bien sûr
écouté : Quand tu veux Seifer !!!! Bougez pas, je
ramène la caméra !!! ^wwww^
Réaction de
Ko à la fic : JE T'AIME COUPINEUH !!!! Exactement ce que je
voulais !!!!! °o°
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